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الأحد، 23 نوفمبر 2014

Ebola



   Ebola virus disease (EVD; also Ebola hemorrhagic fever, or EHF), or simply Ebola, is a disease of humans and other primates caused by ebolaviruses. Signs and symptoms typically start between two days and three weeks after contracting the virus as a fever, sore throat, muscle pain, and headaches. Then, vomiting, diarrhea and rash usually follow, along with decreased function of the liver and kidneys. At this time some people begin to bleed both internally and externally.
The disease has a high risk of death, killing between 25 percent and 90 percent of those infected with the virus, averaging out at 50 percent.
This is often due to low blood pressure from fluid loss, and typically follows six to sixteen days after symptoms appear.
The virus spreads by direct contact with blood or other body fluids of an infected human or other animal.
Infection with the virus may also occur by direct contact with a recently contaminated item or surface.[1] Spread of the disease through the air between primates, including humans, has not been documented in either laboratory or natural conditions.The virus may be spread by semen or breast milk for several weeks to months after recovery.
Fruit bats are believed to be the normal carrier in nature, able to spread the virus without being affected by it. Humans become infected by contact with the bats or with a living or dead animal that has been infected by bats. After human infection occurs, the disease may also spread between people. Other diseases such as malaria, cholera, typhoid fever, meningitis and other viral hemorrhagic fevers may resemble EVD. Blood samples are tested for viral RNA, viral antibodies or for the virus itself to confirm the diagnosis.
Control of outbreaks requires coordinated medical services, along with a certain level of community engagement. The medical services include: rapid detection of cases of disease, contact tracing of those who have come into contact with infected individuals, quick access to laboratory services, proper care and management of those who are infected and proper disposal of the dead through cremation or burial. Prevention includes limiting the spread of disease from infected animals to humans. This may be done by handling potentially infected bush meat only while wearing protective clothing and by thoroughly cooking it before consumption.

 It also includes wearing proper protective clothing and washing hands when around a person with the disease.
Samples of body fluids and tissues from people with the disease should be handled with special caution.
No specific treatment or vaccine for the virus is commercially available, although a number of potential treatments are being studied. Efforts to help those who are infected are supportive; they include either oral rehydration therapy (drinking slightly sweetened and salty water) or giving intravenous fluids as well as treating symptoms. This supportive care improves outcomes. 
EVD was first identified in 1976 in an area of Sudan (now part of South Sudan), and in Zaire (now the Democratic Republic of the Congo). The disease typically occurs in outbreaks in tropical regions of sub-Saharan Africa.[1] Through 2013, the World Health Organization reported a total of 1,716 cases in 24 outbreaks. The largest outbreak to date is the ongoing epidemic in West Africa, which is centered in Guinea, Sierra Leone and Liberia.
 As of 16 November 2014, this outbreak has 15,145 reported cases resulting in 5,741 deaths


La média


Le terme média (pluriel) désigne, dans l'acception la plus large, tout moyen de diffusion
permettant la communication, soit de façon unilatérale (transmission d'un message), soit de façon multi-latérale par un échange d'informations.
Au sein de cet ensemble, l'expression médias de masse (de l'anglais « mass-media ») caractérise un sous-ensemble important, les médias qui ont acquis une diffusion à grande échelle pour répondre rapidement à une demande d'information d'un public vaste, complété dans de nombreux cas par une demande de distraction. La plupart des entreprises dites de média emploient des journalistes et des animateurs de divertissement. Ils recueillent dans un premier temps des informations auprès de sources d'information, en leur assurant la protection des sources d'information, ce qui leur permet d'acquérir une audience, et valorisent dans un second temps leur audience par la vente d'espaces publicitaires. À côté de ce modèle dominant, les chaînes de téléachat et les périodiques ne diffusant que des petites annonces et publicités sont aussi considérés comme des médias.
Étymologie
En latin, media est le pluriel de medium (milieu, intermédiaire). Le mot français est issu de l’anglais mass(-)media1, mot anglais lui-même formé sur l'usage italien media, venant aussi de la langue latine. La notion d'intermédiaire a aussi une origine grecque, médiation développée par de nombreux philosophes notamment Socrate puis Bergson et nouvellement Francis Balle.
L'écriture du terme media prête à discussion. Faut-il rajouter un s comme marque du pluriel sur un substantif déjà au pluriel ?
Le terme media est maintenant rarement employé selon son orthographe latine, « Médias » désigne plusieurs supports et « Média » un support unique. Ces termes consacrés par l'usage commencent à se trouver dans la plupart des dictionnaires francophones1,2,3. Le Grand dictionnaire terminologique et FranceTerme recommandent eux-aussi « média » pour l’anglais media4.
Médias et communication
Les médias sont des outils de communication. Le choix d'un média dépend évidemment du type de communication recherché :
Communication unilatérale et communication multilatérale
Selon ses caractéristiques techniques propres, l'usage d'un média de masse est davantage approprié à un certain type de communication : par exemple, le média de type Presse Écrite (Le Monde, Le Figaro, etc.) semble plus adapté pour communiquer de manière unilatérale, les médias de type Réseaux sociaux ( Facebook, Twitter, etc.) semblent plus pertinents pour communiquer de façon multilatérale.
Communication mise à disposition du public
Selon le critère de « mise à disposition du public » employé par les juristes français5 , on distingue :
les médias simples : dont la consultation par le destinataire est directe (ex : un journal, une revue, un livre, une affiche…),
les médias autonomes : dont la consultation implique la détention d'un équipement par le destinataire (ex : magnétoscope, lecteur CD, micro-ordinateur, téléphone mobile…)
les médias de télédiffusion : dont la consultation suppose que le destinataire soit connecté à des réseaux de diffusion, dans le cadre d'une offre n'autorisant qu'un degré d'interactivité réduit. (ex : réseaux hertziens terrestres, télédistribution par câble, satellites de diffusion directe…)
les médias de télécommunication : idem que ci-dessus, avec cependant la possibilité de consulter une offre présentant un degré d'interactivité important.
Communication média et hors-média
Médias et supports
Les principaux médias
  • l'affichage où les professionnels appliquent des techniques d'écriture publicitaires,
  • la presse écrite où les professionnels appliquent des techniques d'écriture journalistiques,
  • la radio où le journalisme utilise l'écriture radio,
  • la télévision par la diffusion de montages vidéos commentés,
  • les Nouvelles technologies de l'information et de la communication, avec en particulier le Web, comme système hypertexte public de contenus numériques fonctionnant sur Internet. La sophistication des TIC (Technologies de l'Information et de la Communication) (voir les fonctionnalités du WEB 2.0) autorise des fonctionnalités très puissantes :
  • le cinéma utilise notamment le cadrage, les jeux de lumières ou même des bandes sons pour mieux faire passer un message,
  • les médias tactiques (ou média de proximité). Il s'agit de moyens de communication alternatifs : affichage indoor, supports publicitaires (sac à pain, set de table, gobelet, boite à pizza…).
  • les jeux vidéo : Xbox One, PS4, WiiU, ..
Le support
À l'intérieur d'un média, le support désigne un vecteur de communication particulier (par exemple la radio est un média et France Inter est un support). Le média est le regroupement de supports de même type.
Le « quatrième pouvoir » et la déontologie
Les médias sont souvent qualifiés de quatrième pouvoir, par allusion aux trois pouvoirs constitutionnels, dans le processus de la formation de l'opinion publique et dans l'influence que la révélation de ces faits peut avoir dans les prises de position des citoyens. Les faits, analyses ou commentaires qu'ils rapportent sont porteurs de sens, par exemple dans le domaine de la politique, de l'économie ou de la culture. Le choix des faits rapportés appartient aux responsables nommés par les propriétaires de ces médias d'où la revendication par les syndicats de journalistes pour obtenir l'indépendance des rédactions. Le SNJ, le SNJ-CGT, FO, la CFTC, et l'USJ CFDT ont rédigé à l'automne 2007 la pétition nationale6 pour l'indépendance des rédactions7, dans le sillage du combat mené par les journalistes des quotidiens économiques Les Échos et La Tribune, en 20078. Ils demandent que la ligne éditoriale respecte la Charte de Munich, adoptée par la Fédération européenne des journalistes et référence européenne concernant la déontologie du journalisme, un texte qui distingue dix devoirs et cinq droits, en reprenant les principes de la Charte des devoirs professionnels des journalistes français.
En France, en cas de désaccord avec la ligne éditoriale, le journaliste peut en théorie demander l'application de la clause de conscience, supervisée par la commission arbitrale, l'une des cinq grandes commissions qui cogèrent la profession, en vertu du paritarisme. En pratique, la clause de conscience est très difficile à obtenir, la loi n'étant pas assez précise.
Publics cibles des médias
L'influence des médias - à condition de choisir les messages et les supports pertinents - est généralement conçue et adressée vers celui qui achète (le consommateur-acheteur). Comme l’indique le sociologue D. W. Smythe, l’audience est ce que produisent les mass-media9. Cependant, d'autres cibles indirectes sont régulièrement visées :
  • le consommateur utilisateur : celui qui va effectivement consommer, utiliser le produit final.
  • le prescripteur : celui qui est réputé capable de conseiller et/ou d'influencer l'acheteur du produit final.
  • le distributeur : les campagnes médias en faveur d'un produit final peuvent contraindre les distributeurs à référencer un produit fortement faisant l'objet d'une forte promotion (difficile de ne pas vendre le produit connu et demandé par le consommateur…)
Annonceur et émetteur
L'annonceur désigne l'émetteur d'information qui passe commande à un support pour réaliser et/ou diffuser un message en direction d'une cible. Pour cet annonceur, la politique de communication est l'un des 4 piliers fondamentaux de son marketing mix.
Les informations peuvent être élaborées :
  • par l'émetteur lui-même. De ce point de vue les nouvelles technologies numériques facilitent la conception et la diffusion de l'information. Le recours à des intermédiaires spécialistes n'est plus obligatoire quand l'émetteur maitrise lui-même les compétences basiques ( rédaction de texte, graphisme, illustration par du son ou de la vidéo, utilisation du mode interactif, etc.)
  • en amont
par des agences de presse, qui fournissent les rédactions des médias abonnés. On compte trois grandes agences de presse généralistes dans le monde : AFP (France) ; Reuters (Royaume-Uni) ; Associated Press (États-Unis).
par des agences de communication, qui conçoivent l'information à transmettre et à diffuser selon le cahier des charges élaboré par l'annonceur.
Importance des études médias
Compte tenu de leur efficacité, mais aussi de leur coût, les données médias et leur analyse sont au cœur des choix d’investissement en communication (environnement produit, positionnement, stratégie des concurrents, choix des supports, risques pour le client, impact sur les consommateurs, etc.). Les études médias, réalisées à partir de mesures d'impact et d'audience (audimat)
  • réalisées a priori, elles permettent aux annonceurs d'effectuer le choix du média le plus approprié à la cible de leur campagne de communication, l'achat d'espaces de communication, ainsi que le suivi des supports de diffusion.
  • réalisée a posteriori, elles permettent de vérifier l'efficacité de la communication et le retour sur investissement des budgets engagés.
L'étude des médias ne néglige pas l'analyse qualitative :
  • elle s'efforce de comprendre comment mieux segmenter les clientèles cibles et délivrer les messages les plus efficaces.
  • elle intègre de plus en plus l'analyse des thèmes comme :
    • les effets de l'image de l'annonceur et de son produit
    • les modes de communication en environnement urbain (la majorité des consommateurs résident aujourd'hui dans les zones urbaines).
Plan média
Le plan média d'un annonceur (media planning, en anglais) désigne le choix des supports, ainsi que le calendrier de mise en œuvre des médias.
Médias et culture
Promoteurs et porteurs de la culture de masse, les médias, écrits d'abord puis audiovisuels (radios, télévisions), ont été et restent encore des acteurs incontournables dans la diffusion de la culture et dans la structuration des marchés culturels, en particulier des produits culturels. Pour ces derniers, aucune offre de quelque importance ne peut exister sans plan-médias et sans médiatisation réussie. Le « diktat » des médias peut être décisif dans certains cas et nécessite une intervention régulatrice des pouvoirs publics (par exemple les quotas de production de phonogrammes de langue française au Québec, ou d'œuvres audiovisuelles d'origine européenne sur les télévisions françaises)10.
La plupart des grands groupes opérant dans les industries culturelles sont également leaders dans le secteur des médias écrits, audiovisuels et d'Internet : AOL Time Warner, Lagardère, Bertelsmann, Sony, etc. Ces conglomérats financiers que l'on peut qualifier de « médiatico-culturels », ayant grandi par croissance externe ou fusion, sont présents sur les principaux marchés des produits culturels éditoriaux (livres, phonogrammes, vidéogrammes, presse écrite, jeux vidéo…) et des offres médiatiques. Leur stratégie dans le domaine des médias doit en revanche tenir compte de deux contraintes majeures : les réglementations publiques, qui dans de nombreux pays contrôlent leur concentration (respect de l'information…) et la barrière linguistique, frein « naturel » au développement de certains marchés comme la presse, le livre et tous les contenus linguistiques. Néanmoins, cet obstacle est de moins en moins fort, en raison de la prédominance de l'anglais. Les groupes médiatico-culturels (le plus souvent classés dans le secteur de la communication) sont ainsi les acteurs majeurs de la concentration financière et de la concentration de l'offre, allant à l'encontre de la diversité culturelle et de la diversité linguistique10.
Si les médias ont été des acteurs clés de la constitution des « majors » dans les différents secteurs qui se sont structurés autour d'oligopoles à frange (cinéma, musique enregistrée…), ils sont aujourd'hui eux-mêmes menacés par le développement d'Internet et de nouveaux acteurs liés quant à eux aux offres et aux pratiques sur le Web (Google, Yahoo, Facebook, Twitter, MyMajorCompany…). Ainsi, dans le secteur de la musique enregistrée, les deux piliers de la concentration, d'une part le couple star/major et, d'autre part, les réseaux professionnels coopératifs associant publishing, scène, médias écrits et audiovisuels, sont considérablement mis à mal par le développement d'Internet. L'évolution rapide des usages sociaux qui en a résulté (ce que Bernard Stiegler appelle la consom'action) va à l'encontre de l'exposition traditionnelle des produits et du modèle économique de la marchandisation à grande échelle sur lequel reposait jusqu'à présent le système médiatico-culturel11.
Dans de nombreux pays, le secteur des médias relève également du champ culturel, en particulier pour l'intervention publique ; par exemple en France avec un ministère de la Culture et de la communication ou au Royaume-Uni avec le Department for Culture, Media and Sport (DCMS) créé par le gouvernement de Blair en 199610.
Les nouveaux médias permettent l'hyperchoix (décrit par Alvin Toffler dans Le Choc du futur) et sont hyper-spécialisés, au détriment de ceux qui sont généralistes. Ainsi, on a eu une baisse de 15 % des ventes de journaux généralistes en 15 ans, et une augmentation de 15 % de la vente de magazines. (2) Les utilisateurs de média choisissent désormais ce qu'ils regardent et quand est-ce qu'ils le regardent. On peut s'inquiéter de cet effet « œillère » qui limite de plus en plus l'ouverture d'esprit du public ou se réjouir de cette opulence de diversité12.
La théorie de l'hyperchoix reste critiquable, notamment avec le concept de « circularité de l'information » de Pierre Bourdieu qu'il décrit dans son livre Sur la télévision. Ainsi, il indique que les médias traitent, dans un grand nombre, des mêmes sujets, aux mêmes moments, et ceux-ci influencés le plus souvent par les médias dominants (Le Monde aura plus d'impact que le Midi libre). On n'est bien sûr pas surpris de savoir que les médias ont toujours eu le pouvoir de persuader la publique depuis ces médias dominants. On voit aussi que certaines médias en particulière sont à distraire le public des problèmes, des crises, des changements gouvernementales.

الجمعة، 21 نوفمبر 2014

la boite à merveilles


Chapitre 3 "la boite à merveilles"
Chapitre 03 ; la Disparition de Zineb
Cadre général,
Personnages : Sidi Mohammed – Le Fqih - Les condisciples – Lalla Zoubida - Père du narrateur – Fatma Bziouiya – Rahma – Femmes du voisinage – Zineb – Père de Zineb - Voisins – Les mendiants aveugles. Chouafa.les objets de la Boite à Merveilles.
Personnages évoqués : Driss le teigneux, La gardienne de la Zaouïa ‘ Dar Kitoun’. Allal le jardinier, Khadija sœur de Rahma, Allal le fournier mari de la sœur de Rahma.
Temps : Vendredi après midi et le soir – Samedi à midi – le Jeudi suivant ‘le soir’.
Lieux : Le M’sid – Dar Chouafa – les rues avoisinantes.
Lieux évoqués : Dar Kitoun, zenkat Kalkaliyin.
Evénements,
Vendredi après midi – Après deux jours et demie de repos, le narrateur rejoint ses condisciples et nous décrit une séance d’enseignement au M’sid.
Le soir
- Retour de Sidi Mohammed qui est ébloui par la lampe à pétrole de Bziouiya.
- Le diner servi, Lalla Zoubida use de son art pour pousser son mari à se procurer une lampe semblable à celle de Bziouiya.
- De son côté, Mâalem Abdeslam semble être indifférent.
Le Samedi à Midi
- Retour de Sidi Mohammed qui est surpris de trouver une lampe à pétrole accrochée au mur – Driss l’a apportée le matin-.
- Cri de Rahma qui déchire le silence et fait sortir le narrateur de sa torpeur.
- Solidarité des voisines avec Rahma : elle a perdu Zineb dans une foule.
Le Samedi soir
- Récit de Lalla Zoubida qui fait le ‘topo’ sur les événements de la journée, et le malheur de Rahma.
- Grand exploit de Zoubida et Bziouiya qui ont récupéré Zineb d’une maison des enfants abandonnés.
Jeudi suivant : soirée des festivités.
- Rahma organisa une fête pour les mendiants aveugles en guise de remerciement à Dieu de lui avoir rendu sa fille.
- Petite fête entre femmes organisée pour les voisines qui ont aidé à préparer le couscous.
- Ennuis et solitude de Sidi Mohammed qui recourt à sa Boite.
- Ouverture de la Boite et jeux imaginaire du narrateur.
Analyse
Récit enchâssé : récit de Lalla Zoubida ‘deuxième narrateur’ le Samedi soir autour de la table, elle raconte à son mari les événements de la journée.
Certains malheurs peuvent effacer d’anciennes querelles : Lalla Zoubida a vite oublié sa dispute avec Rahma et a couru à son soutien lors de la disparition de sa fille.
Même les malheurs n’échappent pas aux scènes comiques : Sidi Mohammed qui pleure car il avait faim et non pas à cause de la disparition de Zineb.
Résumé
Après deux jours et demi de repos de convalescence, le narrateur va au M'sid, le vendredi après-midi. Il décrit comment se déroule une séance au M’sid, la fin des cours est toujours un moment de délivrance et de soulagement pour lui et ses condisciples. De retours à la maison, le garçon est ébloui par une lampe à pétrole dans la chambre de Fatma Bziouiya. Après le dîner, la mère demande à son époux d'en acheter une. Ce fut fait.
Un événement imprévu se produit : Zineb disparaît lorsqu'elle accompagnait sa mère à un baptême. Toutes les femmes du quartier viennent réconforter Rahma. Elles se mettent à pleurer et à se lamenter sur leurs propres misères. Mais cette disparition réjouit le narrateur qui n'aime pas la fillette. Lalla Zoubida se dirige en compagnie de Fatma Bziouiya à Moulay Idriss pour le prier de venir en aide à la famille de la disparue et retrouvent Zineb à Dar Kitoun.
Le jeudi suivant, Rahma organise un repas pour les pauvres, en guise de remerciements à Dieu. Le père de Zineb invite une horde (=groupe) de mendiants. Après le départ des chemineaux, Rahma convie les voisines et leur sert des mets délicieux. Le narrateur mange avec Zineb. Le soir, il est triste, il vide alors sa Boite à Merveilles et se met à rêver.